René PILLOT
OUVRAGES A PARAÎTRE
ROYAL BONBON
Genre : Fresque historique
Répertoire : Tout public
Distribution : 17 comédiens (6F-11H) – chanteurs, musiciens
Durée : 1h35
Le sujet : Le « Royal Bonbon » était le nom familier donné à une compagnie d’enfants, sorte de soldats miniatures participant aux processions des fêtes de la Révolution à Lille. De la réunion des États Généraux à la fin de la Convention, il y a trois temps : celui de la création, celui de la controverse, celui des luttes armées. Époque complexe, où ce que l’on croit justement gagné un jour devient tendancieux le lendemain.(une famille du Nord, celle de Charlemagne-Joseph Martin, de son épouse et de ses deux fils, natifs du quartier Saint-Sauveur à Lille vivront ces grands moments d’histoire.)
Les partenaires : Conservatoire de Musique de Lille, Collège Carnot
Costumes : Yvonne Sassinot de Nesle
Commentaires : Texte écrit et créé par le Théâtre La Fontaine, Centre Dramatique National pour l’Enfance et la Jeunesse, dans le cadre du bicentenaire de la Révolution Française.
La guerre des adultes est le plus mauvais exemple que l'on donne à la jeunesse.
A propos de Royal Bonbon
CHANTEFLANDRE
Genre : Théâtre historique et social
Tout public
Distribution : 7 comédiens (2F-5H)
Durée : 1h20
Le sujet : Égarés dans un musé, de jeunes élèves découvrent à la faveur de la nuit divers aspects de la Flandre du Moyen-Âge au XIXe siècle. La condition des enfants , celle du monde ouvrier , la vie quotidienne dans les campagnes, dans la mine, les premiers voyages en chemin de fer , les légendes et les contes…
Une fresque initiatique que n’oublieront pas nos visiteurs .
La pièce fut créée à l’Opéra de Lille et présentée à tous les établissements scolaires de la ville
Décors et costumes : Yvonne Sassinot de Nesle.
Pourquoi tu viens dans ma classe, on ne veut plus de toi dans les théâtres.
CONTES DE TERRE ET D'EAU
Genre : 4 à 8 ans
Distribution : 3 comédiens - 15 personnages
Durée : 1 heure
Le sujet : Un jeune garçon aimerait devenir le héros d’une belle histoire mais laquelle ? Une grenouille fort bavarde aimerait en raconter, mais comment ? Une institutrice saisie d’un renouveau pédagogique a le besoin subit d’en découvrir de nouvelles. Et enfin, l’auteur géniteur de ces trois personnages désespère de ne pas franchir le cap de « il était une fois »
Un auteur c'est un monsieur mort qui vit à la campagne.
Un enfant à Michel Tournier
LAGARDÈRE PÈRE ET FILS
Genre : Théâtre épique à partir de 10ans
Distribution : 8 personnages et marionnettes - 6 comédiens
Durée : 1h30
Le sujet : Lorsque l’on a derrière soi un passé de héros, raconter dans un théâtre de marionnettes ses aventures à son fils et à ses copains, est une façon de se prolonger dans ses souvenirs… Mais n’est-il pas dangereux de redonner vie à Lagardère, à la belle Aurore, à Cocardasse et à Passepoil, fussent-ils des poupées ? N’est-ce pas provoquer des rebondissements si chers au roman populaire ? Déjà un mystérieux personnage s’introduit dans cette paisible famille. L’histoire imaginée par Paul Féval recommence. Le théâtre dans le théâtre.
ROCK'N RÔLE OU LA RÉPÉTITION
Genre : Théâtre musical. Tout public
Distribution : 6 comédiens - musiciens
Durée : 1h30
Le sujet : Aux alentours de 1981, la France, accueille avec enthousiasme ce vent nouveau venu de Liverpool : les groupes de rock..
A partir d’enquêtes, de rencontres, d’écoute, l’auteur bâtit avec la complicité d’authentiques musiciens de rock formés pour la circonstance à la pratique théâtrale, l’ambiance d’une répétition, celle des « Banlieutzars ». Leurs rêves, leurs passions, mais aussi leurs illusions, comme le dit l’un des personnages de la pièce : « loin de Paris, il faut se faire tout seul : là-bas, ils ont la chance que le business vous fabrique… ! »
Commentaires : Extrait de Défricheurs d’aurores : Aujourd’hui, je surprend les « Banlieutzars » en pleine effervescence. Il s’agit du choix d’un style de rock « dur » ou « mou ». Ils en viennent presque aux mains. Comme cela se déroule dans la salle, je leur demande de reproduire cet affrontement sur scène. Cela s’avère impossible, le trop réel ne vit pas bien sur les planches !
Novateur, le spectacle tourna beaucoup. En matinée, en soirée, les salles ne désemplissaient pas. Il était fréquent que les enseignants montent sur leurs chaises avec leurs élèves. Jamais il n’y eut d’incident, même à Turin ou Alessandria où ils jouèrent une traduction italienne. Nous fîmes un 45 tours, acte fondateur à l’époque d’un premier pas vers la gloire !
Arnaud Delbarre , l’un de « Banlieutzars », était à l’époque musicien dans le groupe des Stocks. Il devint directeur de l’Olympia.